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Clarifier l'accueil des réfugiés politiques

La majorité des français sont d'accord pour ne plus accepter l'accueil des candidats à l'immigration pour des raison économiques. Concernant les réfugiés politiques qui fuient des territoires en guerre ou des régimes autoritaires, le consensus est tout aussi clair : la remise en cause du statut de réfugié politique n'est pas à l'ordre du jour. Le problème est qu'un grand nombre de migrants se déclarent réfugiés politiques

alors qu'ils ne sont motivés au final essentiellement que par des raisons économiques liées au bien être et aux rêves que peuvent donner les pays très éloignés de leur zone de vie.

Dans chaque continent (asie, europe, afrique, amériques...) il existe de nombreux pays démocrates qui vivent en paix. Lorsqu'un migrant décide de quitter son continent et ne pas se réfugier dans l'un des pays "recevables" de son environnement de proximité, en choisissant un autre continent et un autre pays, il marque ainsi sa volonté de choisir le pays qui lui semble le plus avantageux au regard de sa situation et de l'espoir qu'il peut en retirer.

La solution serait donc de limiter l'accueil des réfugiés politiques par continent. Ne seraient acceptés en tant que réfugié politique que ceux qui seraient issus d'un pays en guerre dans le continent sur lequel il vit. Sans remettre en cause la politique d'accueil, il est naturel de n'accepter que ceux qui n'ont pas dans leurs pays limitrophes, la possibilité d'un transfert de proximité. Dans ces conditions les situations seraient plus claires avec un traitement plus rapide lié à un message


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